Cela est intéressant, je vais suivre de près votre entreprise (en espérant que les actionnaires ne fassent pas tout capoter une fois encore) !

Ou dois-je m'inscrire pour le fonds des anciens actionnaires car j'ai perdu des dizaines de milliers avec toutes ces péripéties...

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Ancien Premier Ministre Kralandais
Ancien Ministre Kralandais

Ivictus a écrit :

Cher concitoyen,

Votre perte vous honore, car elle témoigne d’une chose rare : vous avez cru en Palladium quand d’autres n’y voyaient qu’un sigle sur un rapport comptable.

Le Comité de Restauration Palladioniste™ travaille à la reconstitution d’un fonds de soutien pour les anciens actionnaires — il sera rouvert dès que notre siège sera opérationnel.

Les travaux de mon futur bureau avancent, la pierre est posée, la vision est intacte.

Dans quelques jours, le Comité pourra enfin accueillir ses premiers membres, et chacun retrouvera ce qu’il n’a jamais perdu : la foi en la prospérité.



Ce matin, une tentative d’assassinat m'a visé directement.

L’attaque de Donnie Braquo a échoué. L’auteur est en prison.

Cet acte odieux ne fera que renforcer la détermination du Comité à œuvrer pour la paix, la stabilité et la reconstruction.

Nous ne répondrons pas à la violence par la peur, mais par la prospérité.


“On ne tue pas une idée.”

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Niko Dupon Gnan
Fondateur du Comité de Restauration Palladioniste™
Porte-parole des apatrides de Palladium City.
« On ne ferme pas une idée. On la privatise. »

Kukülu !
Pourquoi cet acharnement à vouloir faire revivre la Palladium ? C'est sale ! Laissez-la mourir !
Il y a déjà eu plusieurs tentatives soldées par des échecs, il faut apprendre du passé pour ne pas reproduire ses erreurs.

Que le Bananocapitalisme reste au fond du trou dont il n'aurait jamais dû sortir !
Surtout qu'on le trouve sous des formes rampantes ailleurs.

Voyez plus grand, voyez plus loin, participez à l'autonome nucléaire !

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Babäyøga, Artiste Protéiførme
En RÉvølution Permanente

L'infâme Corporation a enfin coulé définitivement, par sa propre cupidité et incompétence, et on voudrait la sauver ?

Faire revenir l'esclavage des masses salariales au profit des plus riches ?

JA-MAIS ! Et nous y veillerons

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Kolonel K.