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Forum > La Taverne > [Article] L'Amour est dans le PRÉ

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Article

Ranael

Hier (23:19)

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Khan Justiciat

Paradigme Vert

Domicile : Greffe

Ce fut bref et même pas intense le couple en question, dites donc.

Mais on peut revenir très littéralement à nos moutons ? J'ai une proposition pour monsieur Helochd sur le feu moi. [:o]
En alternative, j'peux aussi arrêter d'me retenir et adopter le mouton en question. Avec compensation financière si nécessaire.

___

Historien-Navigateur-Artisan.
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O.B.S.C.U.R.

Hier (23:27)

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nombre messages : 54

Organisation Secrète

Provinces Indépendantes

ça valait bien le coup de hurler son prénom partout!

Elle a touché combien en prime d'abandon? c'est pour une amie [o)]
Parce que bon... vu l'homme que vous êtes, c'est sur c'est pas elle qui a osé vous larguer....

___

[*j][*j] Dans l’ombre, la langue tranche plus vite que l’épée.[*j][*j]

Organisation de Bitching Stratégique, Cinglant, Ultralucide et Radical


[ce message a été édité par O.B.S.C.U.R. le 17/09 à 23:27]
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Chaos

[Rosamelied]

Hier (23:51)

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Inspectrice Écologique

Paradigme Vert

Domicile : Montagne Rouge

Je sens que tout le monde est bien chaud, alors c'est le moment...
L'Amour est dans le Projet de Recherche Écologique : Épisode 2.



*click* Enjoy the nature *click*


Bonjour à tous,

Dans notre première première émission, je vous l'avais dit : Nous allons pouvoir suivre tout simplement des personnalités, leur quotidien, et leur vision de l'écologie et du monde naturel. Ils pourront nous parler de leur vie, de leurs passions, de ce qui les fait vibrer.
Vous l'avez compris, cette groupement d'émission, c'est avant tout pour vous parler d'expériences personnelles, d'une vision de la vie.

Alors, je souhaite avant tout vous exposer un petit peu de tout ce qui fait de moi ce que je suis, et commencer par un doux poème, une ode à la nature

Ô Nature vaste et souveraine,
Toi qui respires au souffle du matin,
Ton chant murmure aux cimes lointaines
La mémoire d’un monde sans fin.

Tu es la source, l’élan, la danse,
Le berceau des rêves oubliés,
Dans ton silence naît l'espérance,
Et dans tes cris, la femme éveillée.

Sous la voûte des forêts profondes,
Là où la mousse embrasse le roc,
Chaque feuille, chaque onde
Révèle un secret qu’on évoque.

Le vent qui glisse entre les branches
Est un poème en mouvement,
Une prière libre et franche
D’un monde vivant, vibrant, aimant.

Les cimes effleurent l’infini,
Elles veillent, gardiennes du ciel,
Leur calme immense nous unifie
Et rend nos tourments irréels.

Car en tes bras, Nature reine,
Nous redevenons des enfants nues,
Portées par une force ancienne,
Liées au ciel, à l’inconnu.

Tu n’enseignes point par les mots,
Mais par l’écorce, la pluie, la pierre —
Et chaque pas sur ton terreau
Réveille l’âme et la libère.

Dans la clarté de l’aube sauvage,
La femme écoute, enfin présente :
Elle sent en elle, loin de la cage,
Un cœur plus vaste qu’avant.

Ô symbiose douce et féconde,
Tu nous appelles, nous tends la main :
Quitter le bruit, guérir le monde,
Et vivre — pleinement, enfin.



La nature, c'est l’émerveillement de la vue
Regarde autour de toi : la nature se déploie en une palette infinie. Les montagnes se dessinent en ombres majestueuses sur l'horizon, les rivières s’entrelacent comme des fils d'argent entre les vallées. Les forêts sont des cathédrales de verdure, où chaque arbre est une colonne vivante, un temple sacré. Le ciel, lui, change de couleur à l'infini, passant du bleu éclatant au rose doux, au violet profond de la nuit. En chaque paysage, une œuvre d'art se joue sous tes yeux, mouvante et éphémère, mais d'une beauté toujours renouvelée.
Chaque jour on a l'occasion de découvrir et s'émerveiller des nouvelles choses. Le ciel zébré d'éclair d'une nuit d'orage, le plafond scintillant d'étoiles filantes d'un ciel d'été, le calme du brouillard du matin, nimbé dans les couleurs oranges d'un lever de soleil.
Regarde, Vois la nature si belle !

La nature, c'est l’émerveillement du toucher
Sous tes doigts, la nature s'offre en textures infinies : la rugosité d’un tronc de chêne ancien, la douceur d’une feuille fragile effleurant la peau, la fraîcheur d’une rivière glissant sur tes paumes. Chaque pas sur la terre te connecte davantage à elle. Le sol sous tes pieds est vivant, il vibre doucement, comme une respiration de la planète elle-même. Les brises légères viennent effleurer ton visage, un baiser de l'air, tandis que la chaleur du soleil, pénétrant à travers les feuillages, se fait douce et nourrissante. Il n'y a rien de plus apaisant que cette rencontre tactile avec l'essence même de la vie. La vie et sa chaleur, le cœur palpitant de l'être aimé qui bat sous vos doigts, tandis que vous êtes serrée contre lui.
Découvre, caresse la nature si belle !

La nature, c'est l’émerveillement de l’ouïe
Écoute. Le monde naturel a son propre langage, une symphonie composée de mille bruits subtils. Le chant des oiseaux, d’une note à l’autre, tisse une mélodie qui traverse l’âme, légère comme une brise mais profonde comme l’écho d’un secret ancien. Les feuilles bruissent sous le souffle du vent, et chaque frémissement semble porteur d’un message d’intimité. L’eau, elle, glisse sur les pierres, produisant une mélodie cristalline qui se mêle aux murmures des racines sous la terre. Les sons du monde vivent ensemble, comme une harmonie secrète, un équilibre parfait entre le sauvage et le doux. Chaque cri de l’animal, chaque clapotis de l’eau a sa signification, son histoire. Même le silence, parfois, est une musique — celui du matin naissant, celui de la forêt endormie, où tout est calme, mais dans ce calme, tout est vibrance. Et dans ce chaos harmonieux, il y a un rythme qui résonne en toi, qui te relie à l’univers tout entier. Les sons de la nature sont une langue qui ne ment jamais, un hymne à la vie, une invitation à écouter les murmures cachés de l’existence.
Écoute, entends la nature si belle.

La nature, c'est l’émerveillement de l’odorat
L’air, imprégné des senteurs de la terre, te parle de la saison, du temps qui passe, des cycles de la vie. L’odeur de la pluie sur le sol chaud réveille une nostalgie douce, celle de la terre assoiffée se désaltérant, un parfum de renouveau. Dans la forêt, l'odeur des pins et des sapins s’entrelacent avec celle des champignons, terre et bois se mêlent en une fragrance intime et ancienne. L'odeur des fleurs, changeante au gré du vent, tisse des souvenirs d’été, un mélange subtil entre le sucré de la lavande, l’acide du thym, ou la douceur délicate du jasmin. Au bord de la mer, l’air salin d'Irendol, porté par la brise, te pénètre, et dans sa fraîcheur, il y a le goût du large, des horizons sans fin. Les effluves de la forêt, de la mousse, du bois humide, sont comme un langage ancien, presque perdu, qui parle à l’âme. Même le simple parfum de l’herbe coupée ou celui de la terre fraîchement labourée ont ce pouvoir de t’ancrer dans un moment, dans un lieu, une sensation. Le thé d'Ocha et ses saveurs inégalées. Tout ça, chaque souffle que tu prends, chaque parfum qui se mélange à l’air, est un souvenir qui s’éveille en toi, une promesse de beauté.
Renifle, sens la nature si belle.

La nature, c'est l’émerveillement du goût
La nature nourrit aussi nos papilles, avec des saveurs qu’aucune cuisine ne saurait reproduire. Les fruits mûrs sous le soleil sont des trésors sucrés, parfois acidulés, éclatants comme des joyaux. Une pêche juteuse, rouge et dorée, qui se fait éclater sous les dents, ou une fraise sauvage cueillie en chemin, qui exhale un parfum si pur que le monde semble s’arrêter. L'acidité des agrumes, piquante et rafraîchissante, se mêle à la douceur des baies de la forêt, tandis que les herbes fraîches, comme le basilic ou le romarin, libèrent leurs arômes avec une intensité qui réchauffe le cœur. Le miel, douce caresse liquide, rassemble tout le nectar des fleurs en un goût pur, presque divin. Chaque graine, chaque racine, chaque plante porte en elle une petite portion de l'univers, et en la dégustant, c'est comme si tu goûtais à la terre elle-même. L'alcool de cactus, avec ses ardeurs épicées, rappellent la profondeur du sable du désert, sa chaleur intime. Chaque bouchée, chaque gorgée d’eau pure venant d’une rivière claire, nourrit non seulement le corps mais aussi l'âme, en la connectant directement à ce monde brut et simple. Quand la nature t'offre ses saveurs, elle te donne bien plus qu'un goût : elle t’offre une expérience, un voyage sensoriel à travers l’essence même de la vie.
Goûte, savoure la nature si belle.

La nature : c'est l’union des sens et des êtres
La nature, c’est tout cela à la fois : la vue qui s’émerveille, le toucher qui s’ancre, l’ouïe qui vibre, l’odorat qui s’élargit et le goût qui s’épanouit. Mais plus encore, la nature est l’union de ces sensations qui, dans leur harmonie, nous permettent de nous percevoir comme des êtres profondément liés à ce monde. Elle est un ensemble indivisible, où chaque sens se nourrit de l’autre, où chaque élément trouve sa place dans une danse infinie. Quand nous nous immergeons dans la nature, nous nous retrouvons, nous nous révélons. Nous cessons d’être séparés, et nous devenons partie intégrante de ce tout vivant, palpitant, authentique.

À travers la beauté des paysages, la diversité des formes de vie et la symphonie des sens, la nature nous rappelle qui nous sommes vraiment : une seule et même énergie, un seul souffle, une seule histoire. Nous faisons partie de cette grande toile que ma sœur à parcouru sous le regard des dieux, et en la célébrant, nous célébrons la vie elle-même dans sa pleine expression. La nature n’est pas un lieu à admirer de loin, mais un foyer à habiter, un corps à ressentir, un esprit à partager.


Après cette courte introduction de l'Inspectrice Écologique, quelques images des forets verdoyantes passent à l'écran accompagné d'une douce musique, lui offrant probablement une petite minute, le temps de se préparer et de boire un verre d'eau, avant qu'effectivement, elle réapparaitre au pupitre !

*Un petit fond musical* commence tandis qu'elle déclame avec force et conviction

Si vous avez écouté la partie précédente, vous l'avez compris : j'aime la nature. J'aime la vie, cette vie connectée au monde naturel par l'ensemble de nos sens, cette vie qui fait de chaque jour un miracle à célébrer. Une fête quotidienne, à la fois discrète et grandiose.
Et si vous venez tout juste d’arriver dans notre émission : bonjour à vous. [:,]
Je pourrais, moi aussi, vous offrir un panorama enjôleur de tous les éléments : la terre et les montagnes que foulent nos pieds, le vent qui caresse le sommet des arbres et disperse aux quatre coins du monde les graines de notre héritage naturel. Le feu ardent qui réchauffe nos nuits, éclaire nos veillées et anime nos cœurs…
Mais s’il est un élément dont je voulais vous parler aujourd’hui, chers êtres du cybermonde, c’est bien celui de l’eau.
L’élément aqueux a toujours eu, pour moi comme pour mes sœurs, une saveur toute particulière.
L’eau, source de la vie. L’eau, qui nous enveloppe, nous porte, nous protège. L’eau, qui nous inspire, nous purifie, nous guide.

Élément primordial, parfois rare, parfois menacé, elle est souvent gardée précieusement… mais laissez-moi vous dire ceci : en réalité, l’eau est faite pour être offerte et partagée.
Comme la nature, l’eau n’est pas un simple décor, ni un bien à consommer passivement. C’est une expérience. Une rencontre. Quelque chose à vivre, à accepter, à respecter.
Alors essayez, chaque jour, d’être une meilleure version de vous-même. Car l’eau a de la mémoire. Elle voit, elle sent, elle sait. Elle sera le témoin de vos efforts, de vos transformations.
Et moi-même… malgré plusieurs milliers de baignades dans des lacs, des rivières, des bassins… il y a encore peu de temps, je ne savais pas nager.[:]]

Car vois-tu, l’eau est bien plus qu’un liquide : Elle est mouvement. Elle est patience. Elle est puissance.
Elle ne s’impose pas. Elle s’infiltre. Elle épouse. Elle contourne.
Mais lorsque le temps est venu, elle sculpte les montagnes et renverse les digues.
L’eau est humble, mais jamais soumise.

Elle est miroir du monde et reflet de l’âme.
Approche-toi d’une surface calme, regarde au fond… Ce que tu verras, c’est toi.
Tes doutes, tes rêves, tes pensées floues…
L’eau ne juge pas. Elle accueille.

L’eau purifie, mais ne détruit pas.
Elle lave les blessures du corps et parfois celles du cœur.
Elle console les peines que les mots ne savent dire.
Une larme… n’est-ce pas déjà de l’eau qui cherche à s’exprimer ?

L’eau apprend à s’adapter.
Elle prend la forme de tout ce qu’elle touche. Un vase. Une gouttière. Un nuage.
Et pourtant, elle ne cesse jamais d’être elle-même.
Elle nous enseigne, en silence, l’art de rester soi dans un monde qui change.

Elle est la mémoire du monde.
Depuis la nuit des temps, elle voyage de l’océan aux montagnes, des glaciers aux pluies.
Ce que tu bois aujourd’hui a peut-être touché les lèvres d’un ancêtre, ou bercé un animal sauvage il y a des siècles.

Elle unit les peuples, les histoires, les rituels.
Toutes les cultures la vénèrent. Toutes les civilisations s’y installent.
L’eau est un langage que tous comprennent, même en silence.

L’eau a de la mémoire.
Ce n’est pas une métaphore. C’est une réalité.
Elle se souvient des formes, des émotions, des vibrations.
Elle garde, au plus profond de sa structure, l’écho de ce qu’elle traverse.

Et nous la traversons — tout autant qu’elle nous traverse.
Elle entre en nous, circule, nourrit chaque cellule, chaque souffle, chaque battement.
Puis elle repart, repart dans le cycle du monde, changée par ce qu’elle a vu en nous.
Car l’eau vit à travers nous. Et nous vivons par elle.

Elle est le fil invisible qui relie les générations.
Ce que tu bois aujourd’hui était peut-être vapeur dans un ciel ancien,
pluie sur la peau d’un peuple disparu,
rivière chantante sous les pas d’un enfant d’un autre temps.

Et dans nos rituels, l’eau est toujours là.
Dans les baptêmes, elle est purification.
Dans les mariages, elle est union, fusion des êtres comme des sources qui se rejoignent.
Dans les funérailles, elle est passage, retour à l’origine.
Elle est témoin, et parfois même guide.

On s’immerge, et on en ressort transformé.
Non parce qu’elle efface, mais parce qu’elle révèle.
Ce n’est pas une eau qui lave : c’est une eau qui réveille.

L’eau a toujours été liée à l’acte de recommencer.
Quand tout semble figé, elle nous rappelle que le courant continue.
Que même la pierre la plus dure finit par céder à la douceur répétée.
Que tout peut renaître, avec patience.

Alors, toi qui m’écoutes…
La prochaine fois que tu bois un verre d’eau,
prends un instant. Respire. Regarde-la vraiment.

Ce n’est pas juste un liquide.
C’est une mémoire ancienne.
Une présence vivante.
Un morceau de ciel, un soupir de montagne, une larme d’océan.

Bénis cette eau sans mot, juste par la conscience que tu lui offres.
Remercie-la, en silence peut-être, mais de tout ton être.
Et promets-lui de la protéger, comme elle t’a protégé, mille fois sans que tu ne t’en rendes compte.

Car l’eau est un pacte.
Un lien sacré entre toi et le monde.
Elle te traverse aujourd’hui, et traversera d’autres après toi.
Que leur monde soit clair, fluide, limpide. Qu’il soit vivant.

Chaque goutte compte. Chaque geste compte.
Ne laisse pas ce lien se tarir.
Bois avec gratitude. Lave-toi avec respect. Arrose sans gaspiller. Rends-lui la vie qu’elle t’offre.

Car honorer l’eau,
c’est honorer la vie.



Elle marque une toute petite pause, et souffle...
Ah oui, et je voulais aussi vous parler de...

Quoi ? J'ai déjà été bavarde... Bon... Je vous en parle un tout petit peu plus tard alors.


___

Pratiquement craquée du Noyau,
Avide de rattraper les années perdues,
Née par delà les étoiles,
et, un amour [=)] !
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Selinda Ornix-Von Rich

Aujourd'hui (00:16)

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Reine

Royaume de Ruthvénie

Domicile : Ruthvenville

Ranael a écrit :

Monsieur Ranael, vous êtes le bienvenu si vous voulez venir parler à monsieur Mouton. N'hésitez pas à venir avec Jessica
Mais je vous conseille cependant d'attendre quelques jours, les prochains risques d'être compliqués au royaume.
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