Lee Helochd a écrit :Je comprends ta réaction, mais cette mission là, c'était juste une parmi d'autres. Le vol d'argent, c'était peut-être un objectif ponctuel, oui mais c'était loin d'être le seul enjeu.
C’est pas l’acte de « voler de l’argent » en soi qui compte, c’est ce que ça déclenche autour. Parfois, c’est juste une couverture. Parfois, c’est un test. Parfois, c’est une manière de déstabiliser un système ou de faire tomber une structure plus vaste. C’est jamais juste une histoire de billets.
Et si tu t’arrêtes à l’aspect "banal", tu passes à côté du reste : les vraies mécaniques derrière, les manipulations, les jeux de pouvoir, les conséquences. Ce n’est pas spectaculaire au premier regard, mais c’est justement là que c’est fort.
Donc non, ce n’est pas « le plus grand crime », mais ce n’était pas non plus le but ultime. C’était juste une pièce du puzzle. Et crois moi, certaines autres pièces sont bien plus originales.
Loke Von Rich
a écrit :8/10 ? C’est déjà pas mal, j’prends.
Mais si j’suis sorti “vachement vite”, c’est pas parce que j’ai échappé à quoi que ce soit. C’est surtout grâce à la lenteur du Khanat à m’ajouter des peines (voire pire) et à la rapidité de mes alliés bruns, toujours prêts à frapper au bon moment. Sans eux, j’serais peut-être encore dans cette prison délabrée, à compter les fissures sur les murs.
Donnie Braquo a écrit :Ah, l’élégance des anciens… Toujours prompts à rappeler leur règne, leur âge d’or, leurs légendes gravées dans les ruelles numériques. Et je te l’accorde : ce que tu as fait à l’époque, c’était grand. Lourd. Intouchable même.
Mais vois-tu, camarade, les temps changent. Ce qu’on faisait dans l’ombre hier se fait aujourd’hui à la lumière !
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Pas par vanité, mais par nécessité. On ne joue plus dans des films en noir et blanc, et le monde ne frissonne plus pour un nom murmuré à mi-voix. Maintenant, il faut frapper fort, vite, et laisser une traînée de données corrompues derrière soi.
Ton époque a ouvert la voie. La mienne redéfinit le terrain.
Acropole ? Merci pour le respect. Un coup de maître, comme tu dis. Et ce n’est qu’un prélude. Car désormais, c’est moi qui fais vibrer les murs. Je ne quémande rien. J’impose, j’imprime, et j’avance. Et crois moi, la relève est bien là.
Mais ne t’inquiète pas… les anciens auront toujours leur place, dans les souvenirs... ou dans les archives que je réécris à ma manière.
On revient ? Non, camarade. Moi, je suis déjà là.
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Maître incontesté du cybermonde, le plus grand voleur de tous les temps, insaisissable et redouté : le criminel ultime.