Arnold Schwartzenprout a écrit :>> Oui, c'est le point M du post
>> de tes erreurs. > Basé sur ton appréciation en t'appuyant sur un article moisi de cantine scolaire qui propose
> des repas végétariens.Basé sur des
lois passées par des personnes élues, également. Attention, je ne dis pas qu'on pourrait supprimer la viande demain, mais affirmer que c'est impossible (sans envisager l'éducation, les explications, les efforts collectifs, etc.) est très léger de ta part. Dans le genre, quand un groupe de citoyen.ne.s est réuni pour formuler des propositions de lois sur le climat,
le végétarisme devient un sujet très vite.
>> Oui, c'est le point Z du post
>> de tes erreurs > Basé sur ton appréciation, pas sur des articles scientifiques.Si si. Recherche mieux. Les sources ont été données.
> Ben okMerci de reconnaitre avoir dit n'importe quoi depuis 2 pages pour détourner l'attention.
> alors rendez-vous dans ... 10 ans ? 20 ans ?
Le fait que la réduction drastique de la viande est indispensable ne signifie pas que c'est ce qui se fera, et malheureusement on vit bien sur la même planète que des personnes peu malignes qui préfèreront pleurer sur leur steak qu'éviter des millions de morts. Maintenant, pour donner dans le quantitatif, la réduction de 60 000 tonnes de CO2eq obtenue par la poste, sur laquelle tu t'extasiais, c'est une fraction ridicule des émissions du secteur bovin en France.
C'est largement moins que si chaque personne, une fois par an, décide de ne plus manger de buf. C'est clair comme ça que c'est comparativement ridicule ? (et j'ai fait cette estimation avec un taux de CO2eq avantageux pour la viande de buf, incluant les améliorations dont tu parles et qui n'existent en pratique pas encore : avec le taux du buf d'herbe, c'est une fois tous les 6 ans).
À l'inverse, je rappelle que la sortie rapide de l'élevage stabiliserait le taux de GES dans l'atmosphère pour 30 ans et réduirait 60% de nos émissions sur le siècle. (
source).