Un
curieux a écrit :>Si seulement je t'avais signalé
> que la deuxième partie de la phrase que tu as tronquée expliquait pourquoi il ne fallait pas
> tenir compte de ce 80%.
Si seulement je t'avais répondu que cette prétendue deuxième partie de phrase n'existait pas (tu peux relire, c'est juste de la pure invention de ta part).
> Si seulement j'avais expliqué comment on calcule l'effet du méthane lié à l'élevage ou à n'importe quoi.
Le sachant quoi. le mec qui t'explique ce qu'il n'y a pas dans les sources. D'ailleurs tu n'as toujours pas répondu sur la reconnaissance de ta compétence. Bref, niveau crédibilité, ce n'est pas ça.
> T'as une sale manière de t'excuser d'avoir dit absolument n'importe quoi.
Relis bien cette phrase que tu as écrite, tu y verras ton gros problème. Tu es inapte à la discussion.
> Tu as entièrement raison : la pollution est toujours multifactorielle, et dans des quantités
> qui ne sont pas toujours comparables. L'effet de serre, la hausse du niveau de l'eau, la perte
> de biodiversité, les pluies acides, le trou dans la couche d'ozone, l'épuisement des matières
> premières, la pollution atmosphérique aux particules lourdes, la pollution des nappes phréatiques,
> les déchets nucléaires etc.
C'est bon les vaches, vous êtes sauvées ! Ah non en fait, un Curieux veut discriminer... No fun.
>et je parle pas de problèmes sociaux alors qu'il y aurait à en dire, d'ailleurs mon végétarisme était initialement
> beaucoup appuyé par les conditions de travail dégueulasse dans certains bouts de l'industrie
> agro-alimentaire, mais c'est ici hors-sujet de parler des conditions de travail dans les abattoirs,
> des PTSD des ouvriers/ères pour que d'autres puissent bouffer leur côte de veau).
Et les conditions de travail de ceux qui extraient les matériaux ou fabriquent ton téléphone.
> Et c'est là le point important : c'est
cette vision partielle qui permet d'alimenter la discussion
> politique : à un moment,
il faut bien discriminer entre ce qui est urgent ou pas, entre ce
> qui est nécessaire ou pas, entre ce qui va causer de la souffrance et des morts et le reste.
> C'est bien en se basant sur des
comparaisons quantitatives qu'on peut déterminer que ce serait
> utile de diminuer brutalement la consommation de viande, et que par contre "lutter contre
>
la surconsommation" dans l'absolu, c'est juste du discours creux.
Ah ben voilà, on y vient : info partielle mais discrimination quand même. Et en prime, le dédouanement autour de la surconsommation.
Regarde, je te fais une autre démonstration pour t'expliquer que les comparaisons quantitatives ne valent rien sans comparaison qualitative.
L'empreinte carbone des Français est de 11,2 tonnes CO2 eq/personne/an, dont 8 tonnes de C02.
Par comparaison, en moyenne, dans les pays africains (sauf l'Afrique du Sud), c'est 0,7 tonnes de CO2/habitant/an...
Glurps... faut-il réduire brutalement les Français ? Je blague, je blague, on se calmeBon, ben ça, c'est ce que tu fais en généralisant le quantitatif. Maintenant, rajoute une approche qualitative, et là ... Oh ! Suprise ! Des résultats bien plus disparates que l'on pourrait croire...
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