La police, première sur les violences sexistes et sexuelles.
Où il est question d'une plainte pour violences sexuelles. La plaignante est convoquée pour préciser des éléments de la plainte, mais peut-on vraiment s'attendre à ce qu'un policier sache raccrocher un combiné ?
Le message est donc :
« Oui, bonjour, commissariat de police de Paris des 5e et 6e arrondissements. Je vous rappelle par rapport à ce qui s'est passé hier. Écoutez, merci de me rappeler au plus vite. J'aurai besoin de vous réentendre sur les faits. [... Le téléphone n'est pas raccroché] Je la rappellerai de toute façon parce que là, elle doit être en train de cuver ! [...] Ah évidemment elle refuse la confrontation. C'est vraiment une pute. Comme par hasard. Putain, elle refuse la confront' en plus la pute. Comme par hasard. En fait c'était juste pour lui casser les couilles, je suis sûr. C'est aberrant. Ouais je sais pas, moi [mot incompréhensible], il lui arrive un truc comme ça, déjà elle fout une mandale au mec, et après elle va vouloir une confrontation histoire de lui péter la gueule encore plus sur l'audition
Putain, grosse pute. »
Qu'on se rappelle bien que cette partie est tombée accidentellement dans le téléphone de la plaignante, mais que ce sont ces types qui reçoivent les plaintes, guident les victimes et sont censées les aider. Mais curieusement, les flics sont sélectionnés et formés comme si c'était pas le cur de leur mission 🤔